Le mensuel référence auto en juin 2010 nous apprend que les assureurs ont bien de la suite dans leurs idées En effet en 1970, il y a 40 ans, les compagnies adhérentes à un gros cabinets national, qui leur appartient d’ailleurs, avaient inventé l’O F R, il s’agissait, lors de préjudice collision de faire que la facture soit établies par le réparateur seul et que de façon cyclique, l’expert aille signer quelques factures pour essayer de moraliser le système. Les experts avaient vu la fin de leurs entreprises venir mais ils sont tout de même toujours là heureusement  » tous ont été atteints mais tous n’ont pas péris » A nouveau cette procédure refait le jour mais cette fois avec les effets pervers de la technologie et sur l’air de crise afin de laisser penser que le but noble sera les économies réalisées. Il est possible dans le premier temps que des économies apparaissent, au détriment des utilisateurs de véhicules qui ne seront plus sous la beinveillance et le respect de l’ordre que présentent les experts libéraux dans leur fonctionnement. D’aucuns ont vu, dans la mise en œuvre de ces nouvelles pratiques initiées par les assureurs, un « retour de bâton » de ces derniers suite à l’instauration de la procédure VE. Le problème est assurément plus complexe et les experts par leur passivité, leur application a ne travailler que pour les assureurs, payent aujourd’hui le manque de courage et pour certain le manque de professionalisme. En effet, il avait été oublié pour beaucoup, que ce métier bien plus noble qu’il ne peut le paraitre, ne doit pas se faire sous la coupe des assureurs mais par la connaissance de la technique d’une part mais aussi par l’image professionnelle qui résulte d’un travail complet, toujours au plus près de ce qui est juste, donc de la justice, du particulier dans ses difficultés et aussi de la veuve et de l’orphelin ce qui malheureusement peut porter à rire actuellement. Aussi malgré quelques boulversements sociaux qui vont intervenir la place sera toujours possible pour les experts digne de ce nom.